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Jetez-le par-dessus votre épaule pour conjurer le sort si vous voulez, et mettez-en un peu moins dans votre assiette: c’est ce que nous répètent nombre de professionnels de la santé. Étant donné que nous en consommons en moyenne deux fois plus que nous ne le devrions, il y a de bonnes raisons de croire que les risques qui y sont associés s’élèvent d’autant, qu’on souffre ou non de cardiopathie. Voici donc quelques conseils pour vous débarrasser de cette mauvaise habitude.

Connaissez vos limites. La quantité maximale de sodium recommandée pour les adultes est de 2300 mg, ce qui correspond à 1 cuiller à thé (5 ml) de sel de table. Les diététistes conseillent d’en prendre de 1500 à 2300 mg par jour. Comme c’est probablement beaucoup moins que ce que vous imaginez, vous auriez tout intérêt à calculer votre apport quotidien.

Aromatisez vos plats aux agrumes. Plutôt que de saler votre viande, votre poisson et vos légumes, aromatisez-les de jus ou de zeste de citron, lime, pamplemousse ou orange. Ou encore, plutôt que de saler davantage vos soupes, ragoûts et sauces, rehaussez-en la saveur en y ajoutant un peu de votre vinaigre préféré.

Lisez bien les étiquettes des produits en conserve. Pour limiter votre apport en sodium, optez pour les variantes peu salées de vos plats préférés. Les grands coupables sont les produits en boîte, tels que tomates, soupes, bouillons et jus de légumes, qu’on peut trouver aujourd’hui en versions à faible teneur en sodium, tout aussi délicieuses que les autres.

Ajoutez ail et oignon frais. Ce tandem savoureux confère de la personnalité à une foule de plats. Il vaut mieux les prendre frais, les produits en poudre risquant de renfermer du sel.

Réduisez graduellement votre apport. Comme le sel a une saveur à laquelle on prend goût peu à peu, une baisse faible mais graduelle de votre consommation permettra à votre palais de s’adapter. Croyez-nous sur parole: une fois que vous aurez commencé à le faire, vous ignorerez plus facilement la salière.

Cuisinez plus souvent. Seulement 11% du sel que nous consommons provient des repas qu’on prépare soi-même, alors que les repas pris au restaurant et les produits transformés comptent pour près de 80% de l’apport (le reste provient de sources naturelles). Par conséquent, plus on cuisine, moins on en consomme.

Assaisonnez vos plats d’herbes et d’épices. Les herbes (fraîches ou séchées) et les épices confèrent de la personnalité aux plats, éliminant ainsi le besoin de saler. Nous sommes persuadés que si les ingrédients étaient plus savoureux, le sel ne nous manquerait guère.

Débusquez-le. Les fabricants ajoutent souvent du sel dans les aliments en conserve car il y joue le rôle de préservateur. Par conséquent, rincez bien vos haricots en boîte et, autant que possible, optez pour des légumes surgelés ou frais. Le sodium peut aussi se dissimuler dans des endroits moins évidents, y compris dans les desserts et, chose surprenante, dans certaines boissons caféinées aromatisées.

Apprenez à le décliner. Saumuré, mariné, fumé, tous ces termes indiquent que le produit est riche en sodium. De plus, quelle que soit la présentation – sel cascher, gros sel ou sel de mer – la présence de ces mots sur l’étiquette signifie qu’on en a rajouté.

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